Un article de circonstance avec la Pleine lune dans l’axe Vierge et Poissons, vous renvoyant sur le livre parlant de . « La symbolique des maladies de Roland Arnold exerçant la profession d’Ostéopathe et auteur de ce livre paru en 2010, je l’avais trouvé par hasard dans un vide grenier. Je vais vous en livrer un extrait pour vous donner une idée du contenu
Céphalées, maux de tête, migraines
- Mot pour maux :
Ces douleurs traduisent sans faute les fausses pensées et l’erreur qu’il y a à ne pas savoir penser autrement. L’analyse de ce qui s’est passé au départ de la douleur débouche toujours sur du sens. De plus, le côté où l’on ressent la douleur donne une indication majeure. Le côté droit est toujours en relation avec le masculin, le père, le fils. Le côté gauche est toujours en relations avec le féminin, la mère, la fille. Le cerveau n’a aucune innervation sensitive. Ce sont les enveloppes qui l’entourent qui sont sensibles à la douleur et elles sont extrêmement réactives aux tensions internes.
- Penser pour panser :
Et si on utilisait ces douleurs comme matériel pour comprendre et évoluer vers une nouvelle position libérée des contraintes extérieures ? La douleur est un signal d’alarme pour stopper ses vaines pensées. Elle invite à chercher ailleurs, autrement, différemment. Quand le « pensoir » est en alerte, la solution est dans la manière de penser, sans tension, en paix, sans rivalités ni rivaux, en harmonie avec l’être profond. Quand les raison obscures parviennent à la lumière de la compréhension, ces maux disparaissent comme les douleurs de l’enfantement lorsque l’enfant est né.
En fait il est important d’écouter les signes que le corps nous renvois, car il y a toujours une signification profonde de nos maux physiques, lorsqu’on en prend conscience, de ces dysfonctionnements, la maladie prend un tout autre sens dans nos vies. La maladie est un trouble karmique, nous avons tous nos symptômes en relation avec la maison dans notre carte du ciel et les aspects que fera le maitre. Ensuite il y a les accidents de la vie.
Je partage avec vous, un autre extrait et cette fois sur les Bleus
- Mot pour maux :
Se cogner, se heurter aux obstacles – aux événements – entraînent la coloration de la peau en couleur bleue. La peau exprime le mode de la relation avec l’extérieur et si l’environnement est agressif vis-à-vis du sujet, c’est que lui-même est agressif. Le véritable ennemi de l’homme, c’est lui-même, et il traduit à l’extérieur ce qu’il est à l’intérieur. S’il a besoin de se faire mal inconsciemment, pourquoi accu-t-il ce qui lui fait violence ? Encore une fois ? il y a des maux là où les mots sont insuffisants ou inefficaces !
- Penser pour panser :
Prendre conscience que c’est nous qui vivons en rivalité avec les gens et les objets ! La remise en question profonde pourra conduire à la non-violence et ça, ce n’est pas dangereux. Qui s’aime un peu est capable d’aimer un peu les autres et les objets qui l’environnent. Il est parfois utile de se faire des bleus, pour pouvoir un jour voir la vie en rose.
On pourrait dire que rien n’est le fruit du hasard et que chaque cause est produite par un effet antérieur et c’est la nature de cet effet qui en produira la nature de la cause dont la raison aura ces origines dans nos pensées
Autre livre de l’auteur : Le Temple de l’âme (La parole divine du corps humain) Ce livre a paru pour la première fois en 1998 et a reçu le prix Philosophies et Traditions : Pélican d’or 1999.
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La symbolique des maladies (partie 2)
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