
C’est mon dernier livre d’astrologie que j’ai acheté au marché aux puces de Saint Ouen « le Zodiaque Vivant « de Claire Santagostini. Je voulais ramener un souvenir de mon weekend à Paris et je n’ai pas été déçue. Ce livre à une approche atypique parce que les cartes du ciel ont été sélectionnées par une majorité des planètes dans le signe et pas uniquement le « Soleil » pour représenter le signe en référence. Sur les 12 cas, il y en a deux le Soleil n’est pas représentatif du signe qui est désigné.
En voilà un exemple :
Bernard – le Bélier né le 2 mai1932 – 3h 50 (heure locale)
Bien que n’étant pas né « sous le signe du Bélier (le Soleil est en Taureau), cet enfant est un pur Bélier parce que
- L’ascendant du thème se lève dans le signe du Bélier, occupé par 4 planètes
- La présence de Mars à l’ascendant valorise le signe qui est le signe martien : lutte pour la vie – dynamisme – goût de « la bagarre »
- Uranus, conjoint à Mars en Bélier, accentue ce que le signe a d’audacieux, d’explosif, de rebelle (Uranus est en exaltation dans le Bélier)
- Mercure en Bélier donne de la valeur d’intelligence avec les tendances intellectuelles Bélier : esprit inventif et pionnier
- La Lune, au début du signe, accentue le côté impulsif du signe et dominant Pluton (en Cancer) l’empêche de bloquer la valeur Bélier […]
Bernard fut le premier enfant d’un jeune ménage bien uni. Le père employé à la préfecture, gagnait bien sa vie, ce qui permettait à sa jeune femme de rester au foyer.
Dans les premiers mois de son existence, Bernard ne laissa guère dormir sa mère : il criait, prenait des colères, surtout si sa tétée se faisait attendre. Très agité, il gesticulait si bien dans son berceau qu’un jour il en tomba et malheureusement sur la tête. Le choc fut sans suites sérieuses, mais le parrain, qui était astrologue, prévint les parents de veiller à ces chutes, car les « Béliers » tombent facilement sur la tête. On l’attacha donc dans son berceau de façon à éviter une nouvelle chute.
Autre souci au moment de la dentition : il fit alors plusieurs pousées de fièvre et même des éruptions cutanées. Malgré des soins attentifs, on ne put éviter un abcès « C’est le Bélier », soupira le parrain avec philosophie. Dès qu’on put le mettre dans son « parc », il s’y montra si turbulent qu’un jour il reçu sur la tête le par cet tous les jouets qui s’y trouvaient. Il fallut aussi attacher le parc au meuble de plus voisin.
Quand il sut marcher, l’existence dans l’appartement trop petit devint quasi-impossible : c’étaient des courses folles à travers les deux pièces, sans souci des obstacles sur lesquels il fonçait. Il se cogna aussi plusieurs fois la tête dans les portes et il fallut se résoudre à laisser ouvertes les trois portes intérieures en attendant qu’il fût assez grand pour comprendre que le rôle d’une porte est souvent fermée et qu’il faut y penser.
Un jour, en s’audant d’une chaise et de la table, Bernard réussit à attraper la boite d’allumettes. Il avait vu sa maman s’en servir et brûlait d’en faire autant. La maman le vit, fort heureusement et l’on mit la boite hors de l’atteinte de Bernard. « Quand il sera un peu grand, conseilla le parrain, vous ferez bien de lui faire éprouver la brûlure de la flamme d’une allumette et si un jour il se fait une entaille sans gravité, ce sera heureux car il comprendra ainsi le danger de ces objets. Les « Béliers » ont des impulsions tellement fortes qu’ils ne se rendent pas compte de ce qu’elles comportent de danger. Il faut donc à la fois les surveiller quand ils sont petits et dès qu’ils peuvent comprendre, leur faire sentir à quoi ils s’exposent. »
Un ami de la famille eut la malencontreuse idée d’offrir à Bernard une trompette. Ce fut son jouet préféré, avec les crécelles, sifflets et autres jouets bruyants. Quand il eut quatre ans, les parents n’y tenaient plus. Ils comprenaient bien qu’il leur fallait supporter la nature chaude et dynamique de l’enfant. Ils le comprenaient d’autant mieux que Bernard, lorsqu’on lui interdisait un jeu trop bruyant obéissait, mais ne tardait guère à en inventer un pire. Ils cherchèrent donc à échanger leu petit appartement de Paris contre une villa de banlieue avec jardin. La chance les favorisa : ils trouvèrent. Mais il fallait attendre un an pour réaliser l’échange. Ils réussirent à vivre cette année d’attente sans trp de souffrances pour eux ni pour l’enfant en multipliant les sorties au dehors et en envoyant fréquemment le petit Bernard à un groupe d’enfants où il y avait un grand jardin avec de multiples jeux. Ces jour-là, Bernard s’en donnait à cœur joie et rentrant exténué, ne tardait guère à s’endormir. […]
- Arrivée de la petite sœur …
La vie familiale devint plus facile quand Bernard put s’ébattre à son aise dans le petit jardin de banlieue. Cependant la maman fut assez contente quand Bernard ayant six ans, elle alla le faire inscrire à l’école […] « le Bélier est toujours en avant dit le parrain à sa maman et vous verrez de plus en plus tout le parti que vous pouvez tirer de cette disposition, qui n’est pas de l’orgueil, mais une belle confiance en la vie ». La jeune maman, en effet écoutait chaque soir avec plaisir et intérêt tout ce que son petit garçon lui racontait se son école, où tout le pasionnait, l’attirait parceque tout y était nouveau pour lui. L’oreille complaisante de la maman, sa compréhension affectueuse épanouissaient l’enfant qui en vrai Bélier, avait besoin de sentir compris et partagés ses élans, ses joies, ses enthousiasmes […]
- Petite bagarre à l’école avec Jacques …
Convaincus de cette nécessité, les parents en parlèrent avec le parrain. « Pourquoi », leur dit celui-ci, ne profiteriez-vous pas de sa tendance à toujours vouloir être « en avant » pour lui faire faire sous forme de jeux, toutes sortes d’exercices de maitrise de soi, en concurrence par exemple avec ses petits cousins qui viennent souvent ici ? En bon Bélier, il se piquera à ce jeu, il voudra être « le premier » là comme ailleurs et il apprendra ainsi à bien tenir en main sa force incomparable mais dangereuse qu’est son instinct de lutte : il luttera contre lui-même au lieu de battre les autres. » {…]
- Petite exercice pour apprendre la maitrise de soi …
Ainsi, peu a peu apprit-il à maitriser son impulsivité, ses emballement, son comportement naturel et il acquit ce qui manque le plus aux « Bélier » : une puissance d’arrêt, l’habitude de pratiquer « un temps pour rien » avant de prendre une décision qui pourrait être regrettable … et regrettée. […] Il jouait avec passion, surtout aux gendarmes et aux voleur […] « Laissez faire votre Bélier », disait le parrain en riant […] Il aimait beaucoup se déguiser en soldat […] c’est Bernard qui prenait la tête du bataillon. Mais un jeu surtout lui faisait envie : c’était un « Mécano » qu’il avait vu chez un petit camarade […] Bernard comme tous les « Bélier » arrivait difficilement à maintenir un effort régulier ; L’attrait de la nouveauté disparu, il avait envie d’autre chose […] Le parrain avait beaucoup insisté sur ce point, en signalant aux parents que les trois dangers qui guettent l’enfant du Bélier sont : la soif de nouveautés, le manque de persévérance, le découragement au premier insuccès. « Vous ne pouvez pas, leur avait-il dit empêcher cette soif de nouveauté qui est la vie même du Bélier … […]
Un extrait du livre avec les joies et les désirs de Bernard de progresser avec l’aide compréhensif de sa mère qui lui permit de renforcer dans sa forme positive le tempérament de sa nature profondément Bélier, malgré la position du Soleil en Taureau. Il en restait autant a écrire pour terminer ce chapitre consacré au premier signe du zodiaque le Bélier. Bernard réussit à obtenir pour noël son Mécano. Il y eu la phase de l’adolescence ou Bernard s’était entiché d’un camarade et que le vol de son chronomètre eu mis a mal par la suite leur relation … trop long pour vous raconter la suite …
Vous pouvez vous le procurer sur internet, il y en a à tous les prix …
©Lunesoleil
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